Les incendies de 2022, dont l’ampleur est liée au réchauffement climatique, nous engagent à revoir notre rapport à la nature : s’appuyer sur elle au lieu de chercher à l’asservir. Nous pouvons diminuer la combustibilité de nos forêts en aidant le retour des feuillus, et organiser des paysages plus résilients en partant de ce qui reste de nos espaces naturels et de nos cours d’eau. La réhabilitation des surfaces détruites par le feu sera l’occasion de chantiers pilotes pour cette nécessaire reconsidération de notre environnement, vers un monde plus vivable.
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